Nous voilà de retour après de longues semaines d’absence, si vous vous souvenez bien le dernier article était le tajine aux pruneaux de Miss Salsa.
La publication du jour est un pamcakes sucré et qui plus est un grand classique de la patisserie : la forêt noire. A ceci près que pps a utilisé une variante à la framboise mais il n’en reste pas moins sur les traces de son idole Michalak.
On peut raisonnablement dire que le bonheur n’est pas que dans le pré, il l’est aussi apparemment dans la forêt noire !!!
Lorsque je publiais la derniere réalisation de pps, à savoir la tarte au chocolat façon Christophe SCHERPEREEL, j’étais loin de penser qu’un autre gâteau était déjà en route, la tarte aura été en quelque sorte l’arbre qui cache la forêt.
Sans plus attendre, vous trouverez ci-dessous la recette inspirée du gâteau de mes rêves.
- 20 g farine
- 20 g fécule de pommes de terre
- 20 g cacao en poudre
- 100 g sucre cassonade
- 4 oeufs
- 50 g beurre demi-sel
- 200 g crème entière liquide
- 200 g mascarpone
- 40 g sucre
- 20 g kirsch
- 80 g chocolat patissier
- 200 g chocolat patissier
- 1 pot confitures griottes
- 1 pot griottes au sirop
- 500 g griottes
- 100 g sucre glace
- Faire infuser au bain marie les fruits 30mn Tamiser les poudres (farine, fécule, cacao) Séparer les jaunes des blancs Monter les blancs en neige au fouet avec la cassonade Faire fondre le beurre Ajouter les jaunes, puis les poudres et enfin le beurre fondu chaud à l'aide d'une maryse 7. Couler le biscuit dans un cercle inox de 18 cm de diamètre et 4 cm de haut 8. Mettre au four à 180°, environ 25 mn puis laisser le refroidir
- Couper en fines lamelles le chocolat à l'aide d'un couteau Faire fondre le chocolat par étape de 20 secondes au micro-ondes à puissance 400w maximum, et remuer entre chaque étape, il ne faut pas que le chocolat dépasse 32° Verser le chocolat fondu sur une feuille de plastique alimentaire, étaler à l'aide d'une spatule pour obtenir une fine couche homogène de chocolat puis laisser le refroidir quelques minutes au réfrigérateur A l'aide d'un emporte pièce en forme de sapin détaillez et remettez au froid
- Monter au fouet la crème liquide avec le mascarpone, le kirsch et le sucre cassonade Faire fondre le chocolat Ajouter ensuite le chocolat fondu en fin filet pour obtenir des pailletés puis réserver au réfrigérateur
- Décercler votre biscuit Couper le biscuit en 3 horizontalement Tartiner le premier biscuit d'une fine couche de chocolat fondu, ce sera la face contre le plat Imbiber généreusement chaque face interne du biscuit avec le jus des griottes Tartiner du mélange confiture + griottes la première face du biscuit, poser le deuxième biscuit, imbiber le du jus de griottes et masquer entièrement votre forêt noire de crème Parsemer de copeaux en chocolat Saupoudrer de sucre glace et un peu de cacao poudre et piquer les sapins en chocolat
Salut tout le monde, nous nous retrouvons aujourd’hui pour un pamcake tout droit venu du Maghreb : il s’agit de la Garantita.
Alors bien sur on ne classera pas cette pâtisserie d’Oran dans les gâteaux de haut rang mais elle aura un « pois » certain (vous comprendrez par la suite).
Ce dessert présente la particularité d’être fait à base de farine de pois chiche (qui est selon les « connaisseurs » une bonne source nutritive et en plus sans gluten), le tout étant parfumé de cumin. Pour la petite histoire, « garantita » viendrait du mot « calentca » qui aurait lui même donné naissance au mot « caliente » (qui signifie « chaud », à l’image des danses caliente 😉
Ce plat très populaire en Algérie est aussi connu sous le nom de karantika et a l’aspect plus ou moins prononcé d’un flan. Coté goût, le dosage intelligent du cumin s’associe parfaitement avec la farine, et comme vous pourrez le constater, la recette est d’une facilité déconcertante (même en ayant un pois chiche dans la tête).
Sans faire ni une ni deux (ou plutôt one, two, three viva l’Algérie) vous trouverez ci-dessous la recette de la Garantita qui j’espère vous inspirera : alors chiche ou pois chiche.
- Mélanger les oeufs et le lait
- Ajouter la farine de pois chiche
- Verser l'eau
- Huiler le moule et ajouter la préparation
- Cuire 1h au four à 180°c
Aujourd’hui nous nous retrouvons pour un plat un peu plus exotique qu’a l’accoutumée, ce qui me permet dans un premier temps de vous rappeler qu’il y a maintenant une section « région » sur le blog qui permet de filtrer les recettes par origine géographique.
L’été touche à sa fin (les mauvaises langues diront qu’il n’a jamais vraiment commencé) et quoi de mieux pour se redonner la pêche pardon la patate qu’un gâteau à la patate douce ?
Eh oui, au cas où vous ne le saviez pas, il existe des pâtisseries basées sur ce tubercule, les habitants de l’ile Maurice et de la réunion en sont particulièrement friands.
J’aimerai préciser qu’il y a grosso modo deux types de patates douces : celle à chair blanche et celle plus foncée (ces 2 types se décomposant en plusieurs variétés). La blanche est moins sucrée mais à une texture plus farineuse ce qui est un atout non négligeable pour un gâteau, par contre la « foncée » est plus sucrée et donnera un aspect plus « fondant » au cake, les 2 sont à essayer.
L’autre composant majeur de ce plat n’est autre que le rhum charrette, véritable institution chez nos amis réunionnais, qui relèvera le goût du gâteau (par expérience et de façon générale, avec les réunionnais tous les chemins mènent au rhum).
Ne disposant de rhum charrette, je me suis un peu « arrangé » avec la recette en utilisant à la place du rhum ambré (de là à parler arrangé….). Mais si vous voulez un gâteau patate authentique, il faudra conserver le côté rhum-antique avec du charrette, c’est clair comme l’eau de roche (je ne parle pas du rhum bien sûr).
Pour ceux qui ne boivent pas d’alcool, on peut remplacer le rhum par plus d’arome de vanille, voire du jus mais attention, un mauvais substitut et patat’ra, le gâteau peut tomber à l’eau !
Petit détail esthétique, vous pouvez à l’aide d’une fourchette, strier le dessus de la pâte pour avoir le petit effet visuel que vous voyez sur les images ci-dessous (photos striées sur le volet !).
En tout cas ne vous y trompez pas, la patate douce ça frappe fort.
Je pense d’ailleurs que la patate douce est sous exploitée, notamment dans l’hexagone, une fois que l’on aura saturé avec la mode des cheesecakes, bagels pourquoi pas la patate douce ? C’est d’ailleurs bizarre que personne à la réunion n’essaie de surfer là dessus (peut être à cause des requins).
Refroidi, ce gâteau est excellent mais vous pouvez aussi le déguster tiède (une fois n’est pas coutume voilà une patate chaude que l’on ne refilera pas).
Afin de vous laisser prendre connaissance de la recette je vais m’arrêter là car si je continue vous allez croire que j’en ai gros sur la patate !
Vous trouverez une variante avec du chocolat sur le site réunionnais du monde
Ingrédients :
1/1,5kg de patates douces
200g de sucre
200g de farine
3 œufs
Gousse de vanille ou arôme vanille
Rhum charrette
Préchauffer le four à 180°C
Faire cuire les patates douces (30mn d’ébullition)
Les mixer pour obtenir une purée
Ajouter le beurre, les œufs et le sucre
Incorporer la farine toit en continuant à remuer et ajouter le rhum charrette
Enfournez pendant 40 mn et c’est prêt !!!!
Parmi les lecteurs de pamcakes (le blog de l’assiette management) je sais que certains sont fans de Michalak et là encore je suis gentil car pour d’autre cela vire à l’idolâtrie. Pour être franc, n’étant pas un téléspectateur des émissions de cuisine , je ne le connaissais pas jusqu’il y a quelques mois, d’ailleurs je pensais qu’on me parlait du joueur de rugby , mais bon du ballon ovale au cercle ovale (de pâtisserie) il n’y a qu’un pas puisqu’ ils partagent leur amour de la cuillère.
La recette du jour a été trouvée dans un des derniers ouvrages de notre « Johnny Halliday » de la pâtisserie (lui aussi allume le feu) à savoir « c’est du gâteau » (c’est vraiment le nom du bouquin, j’espère qu’ils n’ont pas fait appel à une agence de com’ pour le titre lol).
Ce livre se divise en plusieurs sections (les mousses, les macarons, milks shakes, tartelette, choux, sucettes et cakes) avec un concept assez simple , pour chaque type de gâteau une préparation dite « de base » qui peut ensuite être déclinée et personnalisée. Vous l’aurez deviné, le chapitre qui nous intéresse est celui des cakes qui commence par la citation suivante de Michalak « Sucré, salé, acidulé, aux fruits, sec ou fourré, le cake est le B.A-B.A de la pâtisserie et la crème des gâteaux » (ah maintenant que c’est votre ayatola, le Cheick Michalak qui le dit peut être que vous allez enfin me donner raison ! (Les personnes visées se reconnaîtront).
Les 2 secrets de ce gâteau : la pâte a cake s’élabore avec de l’huile de pépins de raisins afin de donner une texture allégée (si avec ça on est pas à l’abri d’un pépin) et sa légèreté vient du fait qu’il faut bien émulsionner les œufs avec le sucre (qui eût crû que faire un gâteau au citron était une aventure plein d’émulsion !)
Voilà voilà,
- 3 oeufs
- 150 g sucre
- 8 cl creme epaisse
- 115 g farine
- 2 g levure chimique
- 25 g beurre demi-sel
- 2,5 cl huile de pepins de raisins
- 50 g purée d'amandes
- 2 citrons
- 10 cl eau
- 40 g sucre
- rhum
- Battre les oeufs et le sucre pendant plusieurs minutes que le mélange blanchisse et triple de volume
- Ajouter la crème, la levure et la farine puis la purée d'amandes
- Ajouter le beurre tiède
- Raper les 2 citrons et presser le jus
- Ajouter les zestes et le jus des citrons et l’huile
- Verser dans un moule carré de 20×20 (pour ma part j’ai utilisé un moule à cake)
- Laisser reposer une heure
- Préhauffer le four à 180°C et enfourner 35 minutes
- Pendant la cuisson du cake, préparer un sirop avec 10 cl d’eau, 40 g de sucre et le hum. Imbiber légèrement le cake à la sortie du four, puis le laisser refroidir sur une grille avant de le déguster.
S’il est bien un ingrédient qui vous change un gâteau (pardon un pamcakes) ,c’est bien la farine. Il en existe de plusieurs sortes, type 45, T55, T65 ( ne me demandez pas pourquoi elles ont des des noms de terminator ) et pour certaines d’entre elles on peut parler de rencontre du 3ième type…
Le pamcake du jour n’est autre qu’un gâteau à la farine de blé noir également appelé farine de sarrasin. Alors c’est vrai que lorsque l’on évoque le sarrasin on pense automatiquement aux galettes bretonnes mais il peut aussi s’utiliser pour des biscuits et des gâteaux , en plus il est sans gluten donc plus digeste (la mode du moment).
Il n’y a qu’un seul petit bémol: il faut être sur d’aimer le sarrasin car c’est assez particulier de ressentir un peu l’odeur des galettes des sarrasins sur une préparation sucrée, je m’arrêterais là car je ne veux pas me faire d’ennemis parmi nos camarades bretons (ce qui me fait penser à la célèbre blague qui dit que les bretons sont solidaires comme des frères car ils ont Quimper).
Je dois avouer avoir un peu triché par rapport à la recette originale ou j’ai remplacé les pommes et une partie du beurre par de la compote de pommes mais bon comme Andros « ça c’est fort de fruit » ça compense largement je pense.
Vous trouverez ci-dessous la recette qui provient du site lesfoodies.com
PS: pour info le gateau que vous trouvez en photo a été réalisé avec des proportions divisées par 2.
Ingrédients
175 gr de Farine de Sarrasin
– 250 gr de Cassonade
– 250 gr de Beurre Ramolli
– 4 Œufs
– 2 càs de Rhum Brun
– 1 Sachet de 11 gr de Levure Chimique
– 3 Pommes Gala
Préchauffez le four à 180°C.
Dans un bol, fouettez les œufs en omelette puis incorporez la cassonade Laissez de côté.
Pendant ce temps, lavez, épépinez et coupez en petites lamelles les pommes.
Beurrez un moule à cake, puis recouvrez les parois de papier sulfurisé. Beurrez également le papier.
Dans le bol, incorporez le beurre ramolli et mélangez au fouet. Vous devez obtenir de petites particules de beurre dans la pâte.
Ajoutez alors la farine de sarrasin en la tamisant. Mélangez toujours au fouet et incorporez la levure.
Ajoutez pour finir le rhum en fouettant et les pommes coupées en mélangeant avec une cuillère en bois.
Lissez la pâte avec une spatule puis enfournez pour 45 minutes toujours à 180°C.
Vous pouvez déguster ce gâteau chaud, tiède comme froid.
Voilà Voilà,
Dans l’article précédent je faisais référence au dicton « jamais deux sans trois » et cette publication n’échappe pas à la règle puisqu’après la charlotte aux fruits rouges de Queen L et la seconde charlotte aux fruits rouges voici une troisième charlotte mais au chocolat histoire de ne pas finir par voir rouge.
Alors 3 charlottes sur pamcakes, ça pourrait ressembler à une course à l’échalote, je dirais même plus à une course à la charlotte mais bon c’était un event bien précis.
J’ai fait une petite erreur qui est celle d’avoir trempé les biscuits à la cuillere, les rendant moins rigide et rendant surtout le démoulage périlleux (ça se voit sur la photo).
Ces boudoirs mous ne nous feront tout de même pas bouder notre plaisir, sur ce, trève de bla bla et place à la recette!!!! (cette recette vient du site « la table à dessert« )
- Faites fondre le chocolat selon le mode d'emploi
- Tapissez le moule de papier film transparent. Trempez les biscuits dans un peu d'eau et tapissez le fond et les bords d'un moule à charlotte
- Dans un bol, mélangez les jaunes d'oeufs, le chocolat fondu
- Battez les blancs en neige et incorporez-les délicatement
- Versez dans un moule à charlotte et laisser au minimum 4 heures au réfrigérateur
On a coutume de dire « jamais deux sans trois » et il semble que ce dicton puisse s’appliquer à Miss salsa qui après son loup sur lit de ratatouille et son coulis de tomate cerises et son sablé aux fraises et son sorbet relevé d’une pointe de caramel au beurre salé nous revient avec des ravioles frites à la roquette et aux épinards et légumes d’été (c’est bon je peux reprendre mon souffle).
L’avantage avec ce genre de pamcakes salé c’est que le temps que l’on donne le nom du plat, ça a refroidi et c’est prêt à être consommé. Encore une fois Miss salsa a sorti l’artillerie lourde (et je ne dis pas ça pour la roquette) avec cette publication qui pourrait être un des fer (et je ne dis pas ça pour les épinards) de lance de la section salé, et une fois de plus Miss Salsa montre que pendant son absence elle n’a pas végétée (et je ne dis pas ça pour les légumes).
En attendant la recette (et des commentaires) de la principale interessée, je vous laisse jeter un coup d’oeil à la photo.
PS: cette photo sera également présente sur le nouveau compte instagram the_pamcakes également consultable sur le web à l’adresse suivante https://instagram.com/the_pamcakes n’hesitez pas à vous y abonner et à partager avec vos amis !!!
On vous avait laissé sur un cake jambon olives, place à un autre pamcakes salé avec ce cake moelleux aux saucisses de volailles (je sais, c’est un concept).
Je vous laisse découvrir la recette ci-dessous (tirée du blog une-recette.com)
- 180 g farine
- 1 mozarella
- 4 saucisses de volailles
- 1 sachet levure chimique
- 2 oeufs
- 10 cl lait
- 10 cl huile d'olive
- 1 tomate
- 1 càc herbes de provence
- Melanger la farine et la levure dans un recipient
- Battre les oeufs, l’huile et le lait , ajouter cette préparation au mélange farine-levure
- Saler et poivrer
- Couper en morceaux les saucisses de volailles, la mozzarella et la tomate
- Ajouter à la pâte avec les herbes de provence
- Mettre dans un moule à cake (ou des moules à muffins au choix)
- Enfourner à 200°C durant 30mn
Alors je vous l’avais dit lors de sa dernière publication de pamcakes, qu’avec le ramadan Queen L était très productive en ce moment, le problème c’est qu’elle oublie souvent d’immortaliser ses préparations en les photographiant. En même temps pour (avoir eu l’honneur de) gouté certaines de ses pamcakes je peux dire qu’il n’y a pas photo !!!!
Bref , avec des gâteaux mais pas de photos on pouvait logiquement de dire qu’on avait un trou dans la raquette et c’est à ce moment là que Queen L dégaine et nous touche en plein dans le mille avec ses mille trous.
Comme vous pouvez le voir sur la photo il s’agit de crêpes marocaines également appelées baghrir (ou beghrir) souvent servies avec du miel.
Queen L ne m’ayant pas envoyé de recette , je vous invite à utiliser la recette indiquée dans le blog ma fleur d’oranger (vous avez le lien ci-dessous)
Bon appétit !!
Baghrir : crêpes à mille trous pour les nuls ! – Ma fleur d’oranger
Recette très rapide et inratable pour des crêpes à mille trous (baghrirs), bien moelleuses et legères ! Le secret de ces crêpes réside dans la levure chimique qu’il faudra mettre à la fin ju…
https://www.mafleurdoranger.com/article-baghrir-crepes-a-mille-trous-pour-les-nulls-118517725.html
Après la recette salée d’hier, (loup sur lit de ratatouille) on alterne aujourd’hui avec un pamcake sucré que je voulais, pas trop long à élaborer, alors c’est toujours le même dilemme : avec ou sans chocolat ? Avec ou sans fruits ? Incapable de trancher j’ai décidé de couper la poire en deux (c’est le cas de le dire) avec un gâteau à la poire et au chocolat blanc, alors certains se diront « encore du chocolat blanc » (vous trouverez toutes les recettes du blog à base de chocolat blanc ici), c’est mon coté anti-puriste !!!!
Bref voici un gâteau pas compliqué pour un sou, et qui mettra vos papilles sens dessus dessous, une belle occasion de se fendre la poire en perspective, alors vive le gâteau à la poire et au chocolat blanc !
- 200 g chocolat blanc
- 140 g beurre
- 2 càs lait
- 120 g sucre
- 3 oeufs
- 130 g farine
- 1 càc levure chimique
- 3 poires
- Fondre le chocolat et le beurre au bain-marie (ou micro ondes)
- Séparer les jaunes et les blancs d'oeufs.
- Ajouter les jaunes à la préparation, mélanger.
- Ajouter la farine et la levure (tamisées) dans la préparation ainsi que les poires coupées en dés.
- Battre les blancs en neige et les ajouter délicatement.
- Beurrer le moule, verser la préparation.
- Mettre au four à 180°C, 35 min.